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Violettes de Tourrettes sur Loup

La Confiserie Florian travaille main dans la main avec Marcel Quentin, depuis plus de 30 ans. Située à Tourrettes-sur-Loup, à quelques kilomètres à peine de la Confiserie, l’exploitation de violettes de M. Quentin s’étend sur 2 hectares. Chaque année nous recevons entre 200 et 300 kg de violettes à la Confiserie, qui sont ensuite transformés en fleurs cristallisées et en confits grâce au savoir-faire des Confiseurs.

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Délice de violettes, un petit pot qui fait grand effet
Avant même d’ouvrir le couvercle, le charme opère. Ce petit pot en verre, délicatement facetté, laisse entrevoir les pétales de violette suspendus dans leur écrin sucré. On dirait presque une miniature florale, capturée au cœur du printemps. Pas besoin d’étiquette revendicatrice : le délice de violettes artisanal se présente avec élégance, comme une confiture subtile, une promesse murmurée à l’heure du thé. Et entre nous, qui peut résister à l’envie de l’exhiber fièrement sur une étagère ou dans une story Instagram ?

Des fleurs fraîches, des gestes précis
En saison, le matin, les violettes arrivent encore perlées de rosée, cueillies à la main par des producteurs locaux qui connaissent leur parfum comme leur poche. Dans les ateliers de la confiserie, on ne parle pas de production, mais de création. Les gestes sont précis, presque chorégraphiés : les pétales sont infusés, les parfums libérés, et le sucre vient envelopper le tout sans jamais écraser la délicatesse florale. On ne fabrique pas une confiture de violettes artisanale, on la compose comme un parfum.

Un parfum qui s’échappe dans la rue
Pendant la cuisson, l’air autour de la confiserie devient une invitation olfactive. Les passants ralentissent, les voisins ouvrent leurs fenêtres, certains semblent s’attarder. Ce n’est pas juste une confiture, c’est une ambiance. Une bouffée de printemps qui s’infiltre dans les ruelles, et qui donne envie de tartiner la poésie sur une tranche de brioche. Attention, risque élevé de dépendance sensorielle…

Un plaisir rare, à savourer lentement
La confiture de violettes artisanale ne se tartine pas à la va-vite. Elle s’apprécie comme un bon vin ou une pièce de théâtre bien jouée : avec lenteur, curiosité et un soupçon de gourmandise. Sur une crêpe tiède, dans un yaourt nature ou même à la petite cuillère (on ne juge pas), elle révèle ses nuances florales et sa texture délicate. C’est un luxe discret, une fantaisie sucrée qui transforme les petits instants en grands souvenirs.